La jungle maya s’étendait marqué par un ciel d’obsidienne, où seules deux ou trois étoiles perçaient l’épais feuillage des arbres centenaires. Au cœur de cette végétation luxuriante, une ville numéro 1 se dressait, ses temples en pierre dominant la canopée comme par exemple des veilleurs silencieux. Les torches brillaient faiblement https://juliusqdumt.ttblogs.com/13199719/le-poids-de-la-prophétie