La station polaire, mise à contribution pour subsister aux chocs météorologiques extrêmes, vibrait imperceptiblement sous les fréquents soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs composant le système de guidance s’étaient déplacés mollement avec la nuit, sans intervention humaine ni mouvement de l’atmosphère mesurable. Le voyant, en se https://rafaelnuzbc.blog-eye.com/34203992/le-prisme-dormant