La lumière matinal s’étendait mollement sur les toits d’Istanbul, mais dans l’atelier d’Elif, ce n’était pas la limpidité qui guidait les gestes. Le macrocosme y vibrait d'une autre façon, via les reliefs, les sensations olfactives et les sons ténus du silence. Dès les premières heures de la journée, les appels https://beckettxfikk.bloggazza.com/33092799/la-superficie-et-l-ombre