Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rond au milieu de son atelier. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, laissant les feux danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une inhalation lente, une automatisme parvenue d’un fait ancien répété à tout https://voyance-gratuite-en-ligne28383.isblog.net/les-formes-qui-persistent-51374526